Lightray le retour (M)
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Lightray le retour (M)
Une douzaine de badauds entraient à la hâte dans la boutique d'un vendeur/réparateur d'appareil hi-fi.
Le vendeur se figea sans comprendre, et eu un mouvement de recul lorsqu'ils le prirent à parti en lui ordonnant de mettre PCC (Paragon City Chanel).
A demi paniqué, le vendeur s'exécuta et appuya frénétiquement sur les touches d'une télécommande.
L'écran noir de l'écran géant de son achalandage, le 120 ", s'illumina alors, pour dévoiler des troupes de police en train de verrouiller un quartier. Véhicules blindés, herses crève-pneus, hélicoptères; les moyens étaient colossaux.
La caméra tournait sur son axe, pour monter le visage masqué d'un officier de l'Arc, qui d'un signe de la main fit reculer les journalistes. Une section entière des défenseurs rouges et blancs s'étaient déplacés jusque là.
-"Met le son pauv' naze !" Cria l'un des curieux en gesticulant.
-"Mais, mais ça se passe où ?" Demanda le vendeur sans pouvoir quitter l'écran des yeux.
Une femme rondouillarde lui prit la télécommande des mains et augmenta aussitôt le volume, avant de lui répondre :
-"A deux pas d'ici, bonhomme..."
-"Que..." Mais le vendeur ne put terminer sa phrase. Le journaliste argumentait pour expliquer la situation lorsque la façade entière de la banque vola en éclats. La caméra fut soufflée en arrière malgré la distance, et s'inclina de manière anormale, avant de s'immobiliser de travers. Les débris et le souffle de l'explosion avaient déchiqueter les hommes de l'Arc et les membres de la police de paragon sur une centaine de mètres. Les vitres des appartements du quartier s'étaient brisées suite à la déflagration. Les alarmes de voitures retentissaient partout. Plusieurs bornes incendies se vidaient haut dans le ciel, et l'eau achevait de donner à ce spectacle un air d'apocalypse. Les visages sanguinolents, noircis et ébahis des survivants passaient devant l'écran géant comme les blessés se retiraient tant bien que mal. Soudain, la fumée se dissipa, et plusieurs silhouettes agressives se dessinèrent au centre du tumulte.
Six criminels armés jusqu'aux dents ouvrirent le feu sans hésiter sur les policiers choqués, et bien que l'on ne voyait pas comment les choses tournaient au delà du champs de la caméra, les spectateurs comprenaient que les flics mourraient les uns après les autres. Le bruit assourdissant des tirs automatiques et des grenades effrayèrent les "clients " du vendeur, d'autant que depuis ce magasin ils ne les entendaient que trop bien... La banque était à deux rues de là !
Le chef des meurtriers, un homme d'une carrure inhumaine, portant une tenue renforcée vert olive, leva la main dans la direction des tirs. Un éclair d'énergie zébra alors la rue, hurlant un cri strident, comme le crissement d'une lame de couteau écorchant une taule de voiture. De part son rire satisfait il était évident que le blindé ne fit pas long feu, et le vilain intensifia ses tirs, semant la mort et la destruction. Les spectateurs pouvaient croire que des bombardiers rasaient leur quartier tant les assauts étaient violents.
C'est alors qu'un météore flamboyant et lumineux s'abattit sur le meurtrier.
La terre trembla plus fort, et le choc enfonça à demi le criminel dans le bitume.
Un homme vêtu d'une armure noire et blanche le frappait avec une force terrible, qui fendait l'asphalte sous lui.
Dans un dernier sursaut, le vilain déploya une vague d'énergie qui repoussa son assaillant dans les airs. Il se stabilisa très vite, entouré d'un champs de force miroitant. Avant qu'il ne put à nouveau faire déferler l'énergie, le héros noir et blanc fondit sur lui, prit de l'élan comme un basketteur sur le point de faire un panier, et le frappa de toute ses forces.
L'explosion de lumière satura les capacités de la caméra, qui resta aveugle quelques secondes.
Lorsque l'image redevint normale, on put voir que le vilain gisait brisé, enterré sous la route. A ses côtés, le héros relevait les blessés. La caméra était à hauteur d'homme, et s'approchait du sauveur de Steel Canyon. Les spectateurs ne réalisèrent pas de suite qu'une femme parlait à nouveau derrière la caméra, ils étaient soufflés, pendus aux lèvres du super.
Son casque ergonomique cachait la plupart de son visage, bien que l'on puisse deviner qu'une cicatrice lui barrait la joue gauche.
Sa voix était ferme et rassurante.
En réponse à la simple question de la journaliste il se tourna vers la caméra, et s'adressa aux spectateurs :
-"Je suis Lightray, je protège et je sers. Tout simplement."
La liesse s'empara des spectateurs, qui s'embrassaient à chaudes larmes.
Le vendeur hi-fi pleura derrière sa caisse enregistreuse.
Ils étaient sauvés.
Loin de là, à Final Start, Magnus restait bouche bée devant la tv, exposant les restes de l'un des beignets offerts par son frère Philippe.
Les pouvoirs de ce héros étaient trop similaires à ceux du destructeur pour qu'il passe à côté. De plus la cicatrice de ce "héros" était identique à celle qu'il avait vu sur le visage de Philippe il y a quelques jours...
Et ce nom...
Lightray
Le vendeur se figea sans comprendre, et eu un mouvement de recul lorsqu'ils le prirent à parti en lui ordonnant de mettre PCC (Paragon City Chanel).
A demi paniqué, le vendeur s'exécuta et appuya frénétiquement sur les touches d'une télécommande.
L'écran noir de l'écran géant de son achalandage, le 120 ", s'illumina alors, pour dévoiler des troupes de police en train de verrouiller un quartier. Véhicules blindés, herses crève-pneus, hélicoptères; les moyens étaient colossaux.
La caméra tournait sur son axe, pour monter le visage masqué d'un officier de l'Arc, qui d'un signe de la main fit reculer les journalistes. Une section entière des défenseurs rouges et blancs s'étaient déplacés jusque là.
-"Met le son pauv' naze !" Cria l'un des curieux en gesticulant.
-"Mais, mais ça se passe où ?" Demanda le vendeur sans pouvoir quitter l'écran des yeux.
Une femme rondouillarde lui prit la télécommande des mains et augmenta aussitôt le volume, avant de lui répondre :
-"A deux pas d'ici, bonhomme..."
-"Que..." Mais le vendeur ne put terminer sa phrase. Le journaliste argumentait pour expliquer la situation lorsque la façade entière de la banque vola en éclats. La caméra fut soufflée en arrière malgré la distance, et s'inclina de manière anormale, avant de s'immobiliser de travers. Les débris et le souffle de l'explosion avaient déchiqueter les hommes de l'Arc et les membres de la police de paragon sur une centaine de mètres. Les vitres des appartements du quartier s'étaient brisées suite à la déflagration. Les alarmes de voitures retentissaient partout. Plusieurs bornes incendies se vidaient haut dans le ciel, et l'eau achevait de donner à ce spectacle un air d'apocalypse. Les visages sanguinolents, noircis et ébahis des survivants passaient devant l'écran géant comme les blessés se retiraient tant bien que mal. Soudain, la fumée se dissipa, et plusieurs silhouettes agressives se dessinèrent au centre du tumulte.
Six criminels armés jusqu'aux dents ouvrirent le feu sans hésiter sur les policiers choqués, et bien que l'on ne voyait pas comment les choses tournaient au delà du champs de la caméra, les spectateurs comprenaient que les flics mourraient les uns après les autres. Le bruit assourdissant des tirs automatiques et des grenades effrayèrent les "clients " du vendeur, d'autant que depuis ce magasin ils ne les entendaient que trop bien... La banque était à deux rues de là !
Le chef des meurtriers, un homme d'une carrure inhumaine, portant une tenue renforcée vert olive, leva la main dans la direction des tirs. Un éclair d'énergie zébra alors la rue, hurlant un cri strident, comme le crissement d'une lame de couteau écorchant une taule de voiture. De part son rire satisfait il était évident que le blindé ne fit pas long feu, et le vilain intensifia ses tirs, semant la mort et la destruction. Les spectateurs pouvaient croire que des bombardiers rasaient leur quartier tant les assauts étaient violents.
C'est alors qu'un météore flamboyant et lumineux s'abattit sur le meurtrier.
La terre trembla plus fort, et le choc enfonça à demi le criminel dans le bitume.
Un homme vêtu d'une armure noire et blanche le frappait avec une force terrible, qui fendait l'asphalte sous lui.
Dans un dernier sursaut, le vilain déploya une vague d'énergie qui repoussa son assaillant dans les airs. Il se stabilisa très vite, entouré d'un champs de force miroitant. Avant qu'il ne put à nouveau faire déferler l'énergie, le héros noir et blanc fondit sur lui, prit de l'élan comme un basketteur sur le point de faire un panier, et le frappa de toute ses forces.
L'explosion de lumière satura les capacités de la caméra, qui resta aveugle quelques secondes.
Lorsque l'image redevint normale, on put voir que le vilain gisait brisé, enterré sous la route. A ses côtés, le héros relevait les blessés. La caméra était à hauteur d'homme, et s'approchait du sauveur de Steel Canyon. Les spectateurs ne réalisèrent pas de suite qu'une femme parlait à nouveau derrière la caméra, ils étaient soufflés, pendus aux lèvres du super.
Son casque ergonomique cachait la plupart de son visage, bien que l'on puisse deviner qu'une cicatrice lui barrait la joue gauche.
Sa voix était ferme et rassurante.
En réponse à la simple question de la journaliste il se tourna vers la caméra, et s'adressa aux spectateurs :
-"Je suis Lightray, je protège et je sers. Tout simplement."
La liesse s'empara des spectateurs, qui s'embrassaient à chaudes larmes.
Le vendeur hi-fi pleura derrière sa caisse enregistreuse.
Ils étaient sauvés.
Loin de là, à Final Start, Magnus restait bouche bée devant la tv, exposant les restes de l'un des beignets offerts par son frère Philippe.
Les pouvoirs de ce héros étaient trop similaires à ceux du destructeur pour qu'il passe à côté. De plus la cicatrice de ce "héros" était identique à celle qu'il avait vu sur le visage de Philippe il y a quelques jours...
Et ce nom...
Lightray
Epervier- Admin
- Messages : 369
Date d'inscription : 20/04/2008
Re: Lightray le retour (M)
Stuart est tranquillement assis dans un bar quelconque de king rows, la musique country est un peu trop forte, l'odeur pas vraiment agréable et la compagnie...plutôt virile. Le bar est animé, les uns jouent au billard, les autres aux fléchettes mais tous boivent allègrement de la bière.
L'agitation est soudainement rompue par un flash à la télé, un super vilain s'en prenait ouvertement aux forces de l'ordre, ce n'est pas le fait qu'un super vilain s'attaque à une banque, non ça malheureusement les citoyens de paragon y sont habitués, c'est la violence utilisée pour ce braquage. Stuart allait appuyé sur le signal d'urgence des five quant tout à coup un super héros intervient et met à mal le malfrat.
Tous applaudissent....sauf stuart, à la vue de ce héros son regard s'est pétrifié. Il boit rapidement sa bière, prend sa veste et sort rapidement. Des dizaines de questions se bousculent dans sa tête. . .
L'agitation est soudainement rompue par un flash à la télé, un super vilain s'en prenait ouvertement aux forces de l'ordre, ce n'est pas le fait qu'un super vilain s'attaque à une banque, non ça malheureusement les citoyens de paragon y sont habitués, c'est la violence utilisée pour ce braquage. Stuart allait appuyé sur le signal d'urgence des five quant tout à coup un super héros intervient et met à mal le malfrat.
Tous applaudissent....sauf stuart, à la vue de ce héros son regard s'est pétrifié. Il boit rapidement sa bière, prend sa veste et sort rapidement. Des dizaines de questions se bousculent dans sa tête. . .
Dernière édition par Starsend le Lun 27 Oct - 21:22, édité 2 fois
Re: Lightray le retour (M)
T'as la plume alerte ombre ! C'est fluide comme j'aime
Sgreum- Messages : 187
Date d'inscription : 09/04/2008
Re: Lightray le retour (M)
Juan tentait en vain de comprendre la lecture de son sommeil enregistré. De dépit il finit par laisser tomber et remit à plus tard une éventuelle compréhension de ces graphiques qui resemblaient pour lui à de l'art contemporain. Autrement dit, à rien.
Le son de la télévision installée tant bien que mal dans le labo toujours en chantier de Magnus attira son attention. Il le rejoignit en trainant nonchalament les pieds.
- Qu'est ce que tu regarde comme émision Tobi? Ha encore les infos. Ca t'ennuis si je met "section hospital" sur la 43? Houhou Magnus Tobias la terre vous appel.
Mais visiblement Magnus était trop absorbé par ce qu'il voyait pour perdre du temps à répondre.
- Magnus? youhou? Putain t'en fais une tronche on jurerait que tu viens de voir un fantome.
Juan lacha la préssion et s'assit sur une caisse à côté du professeur pour voir la fin du reportage en direct et entendre la déclaration du type masqué.
- Hey t'endend ça Tobi. Ben merde alors il est gonflé celui là. Piquer à Philou son premier nom du temps où il faisait chier tout le monde. Mériterai une brochette flambée ce naze.
Magnus lacha un court instant l'écran de télévision pour porter sur Juan un regard navré.
- Je t'aime beaucoup Juan et pourtant parfois. Comme à cet instant précis je souhaiterai te voir loin, très loin de préférence.
- Bon ok je te laisse mater ton show téléréalité. Scuse moi mon frère. J'me casse en ville. A ce soir man.
Et Juan sortit de final start en chantonant. Innocent de ce qu'il venait de voir sans se poser la moindre question. en tout cas en apparence.
Le son de la télévision installée tant bien que mal dans le labo toujours en chantier de Magnus attira son attention. Il le rejoignit en trainant nonchalament les pieds.
- Qu'est ce que tu regarde comme émision Tobi? Ha encore les infos. Ca t'ennuis si je met "section hospital" sur la 43? Houhou Magnus Tobias la terre vous appel.
Mais visiblement Magnus était trop absorbé par ce qu'il voyait pour perdre du temps à répondre.
- Magnus? youhou? Putain t'en fais une tronche on jurerait que tu viens de voir un fantome.
Juan lacha la préssion et s'assit sur une caisse à côté du professeur pour voir la fin du reportage en direct et entendre la déclaration du type masqué.
- Hey t'endend ça Tobi. Ben merde alors il est gonflé celui là. Piquer à Philou son premier nom du temps où il faisait chier tout le monde. Mériterai une brochette flambée ce naze.
Magnus lacha un court instant l'écran de télévision pour porter sur Juan un regard navré.
- Je t'aime beaucoup Juan et pourtant parfois. Comme à cet instant précis je souhaiterai te voir loin, très loin de préférence.
- Bon ok je te laisse mater ton show téléréalité. Scuse moi mon frère. J'me casse en ville. A ce soir man.
Et Juan sortit de final start en chantonant. Innocent de ce qu'il venait de voir sans se poser la moindre question. en tout cas en apparence.
Noir Dessein- Messages : 376
Date d'inscription : 09/04/2008
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